Le bien-être au travail, élément de performance
LA RECHERCHE DE LA PERFORMANCE FINANCIERE
Les réorganisations et les restructurations génèrent la peur du chômage et l’incertitude sur l’avenir. L’éloignement des centres de décision décrédibilise le management de proximité. La fragmentation des tâches engendre une perte de sens.
La course à la rentabilité, l’effritement voire la disparition des collectifs de travail conduisent à une fragilisation des relations sociales…
Les managers font de la performance financière la seule échelle de valeur. Certains d’entre eux pensent que l’épanouissement des collaborateurs est secondaire pour l’atteinte de leurs objectifs car ils n’ont pas eu l’opportunité d’explorer d’autres voies.
Notre recherche permanente d’innovation résulte de l’expérience de nos associés et collaborateurs et de notre activité de veille.
LE BIEN ETRE AU TRAVAIL EST UN ELEMENT DE PERFORMANCE
Il est important que les dirigeants considèrent le bien être des salariés comme un élément de performance économique.
Etre bien dans sa tête, c’est mieux gérer ses relations avec ses collègues, ses managers et ses clients pour mieux travailler, être plus disponible, plus créatif et plus performant.
Pour réussir ce nouveau défi, les dirigeants doivent l’intégrer dans la culture de l’entreprise et lui donner une traduction concrète au niveau du management de proximité.
LA PERFORMANCE SE MESURE
L’absence d’indicateurs ne permet pas de mesurer les bénéfices que l’entreprise peut attendre du bien être de ses salariés. Autant il est aisé de suivre le chiffre d’affaire et la rentabilité, autant il peut sembler impossible de mesurer leur bien être.
La mise en place d’indicateurs d’évaluation et de suivi est donc un élément essentiel à la réussite d’un tel projet à moyen et long terme.
Ceci doit se faire en concertation avec les salariés et leurs représentants car ces indicateurs sont établis à partir d’informations recueillies auprès d’eux.
Garantir la confidentialité des informations est un pré requis indispensable à l’adhésion et l’implication des salariés.
UNE PRISE DE CONSCIENCE AU NIVEAU NATIONAL
Nos convictions sont partagées par de nombreux responsables de ressources humaines, politiques, hommes et femmes de réflexion et d’action, désireux de prendre un virage vers une nouvelle organisation du travail, ainsi qu’en témoignent plusieurs rapports.
« En France, la fierté du travail bien fait occupe une place importante. Le métier n’est pas qu’une source de rémunération : il est partie prenante de l’épanouissement personnel, de l’intégration et du lien social.
Le sujet de la santé au travail réconcilie le social et l’économique. Investir dans la santé au travail est d’abord une obligation sur le plan humain : de plus, ce n’est pas une charge, c’est un atout pour la performance.
L’amélioration de la santé psychologique au travail ne doit pas se limiter à la gestion du stress professionnel. Le vrai enjeu est le bien-être des salariés et leur valorisation comme principale ressource de l’entreprise. »
(Rapport national « Bien être et efficacité au travail » fait à la demande du 1er ministre – février 2010)
« Pour L’Association Nationale des Directeurs des Ressources (ANDRH), il faut replacer l’homme au centre de l’organisation et rendre au management la cohésion et la cohérence en termes de réassurance, d’accompagnement et de retour sur investissement : La gestion humaine des ressources et les résultats économiques de l’entreprise sont intimement liés ».
(Commission Stress de l’ANDRH – février 2010)
Mensana Conseil affiche ses convictions et vous propose ses services pour y parvenir.
« Il est important que les dirigeants considèrent le bien être des salariés comme un élément de performance économique. »