Des coûts directs et indirects pour votre entreprise

Par l’absentéisme et les arrêts maladie qu’il induit, le stress représente de 50 à 60% des journées de travail de perdues.
(Source : Les chiffres de l’absentéisme, Agnès le Gonidec, JDN Management).

La productivité et la créativité des personnes en sur stress est affectée. De façon indirecte, la présence de nombreuses personnes en souffrance a des conséquences en termes d’image de marque, de recrutement, de motivation, de climat social, et altère au final les performances de l’entreprise.

A l’inverse, « Les entreprises dont le niveau de satisfaction des employés est élevé génèrent des rendements supérieurs à long terme ».
(Source : Alex Edmans, Wharton School, University of Pennsylvania, December 30, 2008).

En 2007, le coût social du stress professionnel en France est estimé entre 2 et 3 milliards d’euros pour une population active de 27,8 millions de personnes, soit 10 à 20 % des dépenses de la branche accidents du travail / maladies professionnelles de la Sécurité Sociale.
(Source ; Institut national de recherche et de sécurité (INRS) avec Arts et métiers ParisTech – Etude du 7 janvier 2010).

L’Agence européenne pour la sécurité et la santé au travail a montré, en 2002, que le coût du stress d’origine professionnelle représentait environ 20 milliards d’euros par an.

Selon le Bureau International du Travail (BIT), le coût du stress dans les pays industrialisés s’élève entre 3 et 4% du PIB.

Le stress constitue également un risque juridique pour l’employeur dans des situations extrêmes, notamment en cas de suicide ou de procès pour harcèlement, en cas de droit de retrait exercé par les employés. En effet, l’employeur est dans l’obligation d’assurer la sécurité et de protéger la santé physique et mentale des travailleurs.
(Source : Cour de Cassation Chambre civile, 22 février 2007, n° de pourvoi 05-13.771)